Les objectifs du Portugal Business Club

Rapprocher les décideurs, portugais et d’autres origines, intéressés de manière directe ou indirecte au développement économique PORTUGAL-FRANCE, en mettant en commun leurs connaissances, services, expériences.

Portugal_business_club_2014

Le bureau 2014 – 2016

Président du Club du Rhône : Claudio Pinto Fernandes
Vice-Président : Gil Martins
Secrétaire : Anne Ferreira
Trésorier : César Pereira
Responsable Communication : Sophie Gex
Responsable événements : Emmanuel da Rocha

Les moyens d’actions

Chaque Portugal Business Club organise une réunion mensuelle où les adhérents se retrouvent afin de faire connaissance, échangent leurs expériences et partagent un moment convivial autour d’un repas.
Le Portugal Business Club organise aussi des événements ponctuels qui mettent en avant les adhérents du Club auprès des médias locaux, nationaux et internationaux.
Le Club s’applique à mettre en lumière l’intégration et la diversité des activités de ses membres : chefs d’entreprises, cadres, professions libérales, etc.
Le Portugal Business Club invite tous ceux qui ont envie de développer leur entreprise et leur réseau à le rejoindre lors de l’un des repas organisés dans les différentes villes afin de faire connaissance avec ses adhérents.

Pour devenir membre

Il faut faire une demande d’adhésion en ligne ou par courrier.
Deux membres se déplaceront ensuite pour rencontrer le futur adhérent.
Pour un particulier ou cadre est de 150 €/an.
Pour une entreprise est de 300 €/an.

Quelques chiffres pour comprendre l’utilité et le potentiel du Portugal Business Club

Pour ce qui est de la population, plus de 10 000 000 de portugais résident au Portugal, et 4 500 000 vivent à l’étranger. 800 000 portugais et franco-portugais vivent en France (d’après les chiffres INSEE).

Il y a plus de 40 000 sociétés, en France, dirigées par des portugais (d’après l’annuaire LusoPages).
Et il est impossible de calculer, parmi les 1 000 000 franco-portugais en France, le nombre de cadres dirigeants en poste dans les entreprises françaises. Mais nous pouvons imaginer qu’ils sont nombreux !